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Un témoignage très intéressant sur le poids du wokisme dans la tech
« Nous respectons la liberté d’expression de chacun, mais nous choisissons de ne pas l’écouter. » La salle a applaudi. Mais le discours qu’ils choisissent de ne pas écouter est la preuve croissante que quelque chose ne va pas dans le domaine de la médecine du genre.
Que faut-il pour qu’une idée se propage d’un à plusieurs ? Pour qu’une opinion minoritaire devienne la croyance majoritaire ? Selon une nouvelle étude réalisée par des scientifiques de l' Institut polytechnique Rensselaer , la réponse est de 10 %. Une fois que 10 % de la population est attachée à une idée, il est inévitable qu'elle finisse par devenir l'opinion dominante de l'ensemble du groupe. La clé est de rester engagé.
Ce témoignage restitue le parcours sur une dizaine d’années d’une jeune femme, Camille B., progressivement séduite et de plus en plus impliquée dans la viticulture biodynamique, jusqu’à ce qu’elle prenne conscience de l’incohérence des discours et des pratiques de la biodynamie. Elle alerte ici sur le risque de s’engager dans un processus addictif de recherche pseudo-scientifique, éloignant de la réalité et faisant perdre la capacité de réflexion rationnelle.
Ces interventions ont été estimées à 7281 cas en 2022 (soit 3% des IVG) et ont entrainé une ré-estimation à la baisse du nombre total d’IVG sur 2022 (234300) ainsi que sur les 3 dernières années (2021,2020 et 2019). Outre le fait qu’il faut toujours être vigilant sur les chiffres annoncés, cette correction met en avant un phénomène non négligeable de “complications ayant donné lieu à une hospitalisation ou d’un échec de la première méthode utilisée”. Cela illustre la réalité parfois difficile du déroulement des IVG qui ne se passent pas comme prévu.
Une chose est sûre : Red Hat a massivement endommagé sa réputation dans la communauté du libre.
Et c’est bien dommage.
Ce site vous donne des informations sur les conséquences attachées aux demandes de services occultes et à l’exercice des pouvoirs occultes. Ce site prend la suite du précédent, occultismedanger.free.fr qui est toujours en ligne…
if you have any trust or whatsoever in Gandi, you should seriously reconsider.
VINGT-DEUX ANS APRÈS SA CRÉATION, L'HÉBERGEUR ET SPÉCIALISTE FRANÇAIS DES NOMS DE DOMAINE GANDI.NET A FUSIONNÉ AVEC L'UN DE SES HOMOLOGUES NÉERLANDAIS POUR FORMER L'ALLIANCE EUROPÉENNE YOUR.ONLINE, DÉDIÉE AUX SERVICES WEB, A-T-ON APPRIS MERCREDI AUPRÈS DE GANDI.
Pour comprendre d'où vient la "déconstruction" et où elle mène.
Deuxième problème : puisque le militantisme “woke” revendique, pour chacun, des identités particulières censées primer sur l’appartenance à une humanité commune, il rend impossible le dialogue, au sens du rapport entre Je et Tu, dans l’espace symbolique et neutre de l’interlocution. Déroute du symbolique et démonstration d’une appartenance identitaire qui porte en elle les droits que l’on revendique. Ainsi, tout rapport aux autres devient procédural. On ne s’adressera à une “personne” woke qu’après avoir exhibé tous les signes de correction idéologique, afin de ne pas l’offenser dans son identité, réelle ou ressentie. C’est donc la destruction achevée de l’humain, si l’on suppose qu’il n’est d’humanité que par le rapport à l’altérité, l’exposition risquée à ce qui n’est pas soi.
« Ce cours a tout changé dans la classe, affirme Sara. Nous nous entendions bien, il y avait de la solidarité, du respect et de la bienveillance entre nous. Mais certains ont commencé à se voir comme des victimes de racisme, à ne parler que de cela. La boucle WhatsApp de la classe est devenue un champ de bataille avec deux camps qui s’affrontaient. Il y avait les Blancs accusés de racisme et les “basanés” de la classe qui parlaient d’esclavage, de colonialisme, d’inégalité. Ce cours n’a pas fait réfléchir. Il a installé un climat de haine et transformé en victimes certains de mes camarades qui allaient très bien jusque-là. »
La féministe d'origine iranienne fustige un féminisme de plus en plus victimaire, puritain et séparatiste. Elle en appelle à la liberté plutôt qu'à la morale.
Professeur à la faculté de droit de l’université de Georgetown, cette Américaine d’origine palestinienne raconte le climat de censure et de surveillance généralisée qui s’installe sur tous les campus d’Amérique.
Au début, ces outils de communication avaient permis à chacun de mieux développer la tolérance envers les minorités historiquement dominées, dans un grand élan populaire. Mais depuis que ces réseaux sont surveillés avec bienveillance, leurs utilisateurs, inquiets de laisser échapper une parole malheureuse et sanctionnée, préfèrent se tenir cois.
Éclairage sur les universités et la question de la pluralité des opinions dans les débats.
Au sujet des assureurs, j'ai rencontré il y a quelques années le dirigeant d'une société sur Lyon dont le métier est de créer des boites noires à destination des assureurs exploitant les réseaux sociaux pour sortir une note concernant le futur assuré.
En cela, il contournait légalement la loi : tant que la boite noire fournit une note sans préciser les critères, c'est légal. Même si les critères sont santé, comportement, religion, race...
Il nous a même prévenu que le prochain critère, dès que l'euthanasie serait légalisée, serait basé sur ce qu'on avait liké ou non sur ce sujet dans les réseaux sociaux. Quelqu'un favorable à l'euthanasie coûtant a priori beaucoup moins cher en frais de santé de fin de vie...
Une courte nouvelle qui permet de comprendre comment on peut laisser une idée apparemment anodine devenir une dictature.
Exemple en cours : l'écriture inclusive.
Le traçage automatisé des contacts à l'aide d'une application sur smartphone comporte de nombreux risques, indépendamment des détails de fonctionnement de cette application. Nous sommes spécialistes en cryptographie, sécurité ou droit des technologies. Notre expertise réside notamment dans notre capacité à anticiper les multiples abus, détournements et autres comportements malveillants qui pourraient émerger. Nous proposons une analyse des risques d'une telle application, fondée sur l'étude de scénarios concrets, à destination de non-spécialistes.
Ces constats suggèrent que les exigences éthiques envers l’entreprise suivent une évolution en trois temps :
- un effet perturbant mais positif d’abord, lorsque l’entreprise est sommée de modifier des pratiques intolérables. C’est le temps du combat ;
- puis se met en place une normalisation des règles de la « bonne » conduite. C’est le temps de la conformité ;
-* enfin, le politiquement correct étouffe l’authenticité et conduit à de nouvelles intolérances. C’est l’étape du conformisme.
Les acteurs de la RSE doivent être conscients de ce cycle s’ils ne veulent pas être réduits au rôle de bureaucrates de la bonne conscience. »