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Remettre en cause la gestation pour autrui : un témoignage des dégâts psychologique sur la construction de l'identité.
L'outil opensource pour faire des stats (en particulier en psychologie)
Manifestement, la question de la victimisation induite par le wokisme a déjà été posée
« Mon plus grand défaut, c’est ma modestie ! » Si vous arrivez tonitruant avec ce genre d’affirmations dans un entretien d’embauche, il y a des chances pour que votre interlocuteur commence tout d’abord par prendre du recul. C’est ce que des chercheurs américains de la Harvard Business School appellent le humblebragging (littéralement se vanter humblement), une forme de vantardise sublimée par de la fausse modestie ou une attitude plaintive. Dans une série d’expériences, ils ont pu vérifier son omniprésence sur les réseaux sociaux et surtout… sa totale inefficacité. Les chercheurs se sont tout d’abord intéressés à des tweets. Des affirmations du genre « Être diplômé de deux universités fait qu’on est deux fois plus sollicité pour des dons. C’est tellement agaçant », passent plutôt mal sur les réseaux sociaux. Les internautes ont tendance à évaluer ces personnes comme moins sympathiques, moins compétentes et moins sincères que celles qui choisissent de se vanter ouvertement ou de se plaindre sans fioritures. Dans une autre expérience, les chercheurs ont simulé des entretiens d’embauche. Les participants devaient répondre à la question de leur plus grand défaut. Des recruteurs fictifs jugeaient les candidats selon leurs réponses. Ceux qui indiquaient comme défaut leur côté trop perfectionniste, trop travailleur, trop gentil ou serviable étaient moins bien évalués que ceux qui exprimaient des défauts véridiques, comme l’intransigeance, un manque d’organisation ou la procrastination. À travers le humblebragging, les gens veulent apparaître à la fois comme sympathiques et respectables, mais échouent finalement pour les deux, concluent les chercheurs. Ils apparaîtraient alors surtout comme hypocrites et pas crédibles du tout. Conclusion : quand on veut discrètement faire passer un message en disant le contraire, on risque de se prendre un retour de bâton !
Ça fonctionne une fois, deux fois, peut-être trois. Ensuite ça finit en résignation et désillusion. Ça peut finir en burn-out, en démission, ou en résignation et désimplication. Une fois que vous aurez perdu ceux qui ont essayé par bonne volonté, les récupérer est mission impossible.
"J’ajouterai : Attention aux décisions prises par l’égo et par l’aspiration à faire ce qu’on pense que les autres font ou devraient faire. C’est un vrai facteur de mauvaises pratiques.
Plutôt que sélectionner mes recrutement en fonction du niveau en anglais, je préfère filtrer pour éviter les personnes qui mettent trop d’égo dans leurs choix et interactions."
Une phrase qui prend un sens savoureux en ce qui concerne l'écriture inclusive dans les logiciels...
Les personnes en fin de vie sont confrontées à des pressions externes qui leur dictent comment elles devraient aborder cette période. Or, la législation actuelle sur la fin de vie ne prend pas en compte ces risques normatifs. Un manque qu'il faudrait combler.
« Nous respectons la liberté d’expression de chacun, mais nous choisissons de ne pas l’écouter. » La salle a applaudi. Mais le discours qu’ils choisissent de ne pas écouter est la preuve croissante que quelque chose ne va pas dans le domaine de la médecine du genre.
Une recherche faite à Yale en imagerie cérébrale montre qu’il y a plus de zones du cerveau en activité dans un échange face à face que dans un échange via Zoom.
Que faut-il pour qu’une idée se propage d’un à plusieurs ? Pour qu’une opinion minoritaire devienne la croyance majoritaire ? Selon une nouvelle étude réalisée par des scientifiques de l' Institut polytechnique Rensselaer , la réponse est de 10 %. Une fois que 10 % de la population est attachée à une idée, il est inévitable qu'elle finisse par devenir l'opinion dominante de l'ensemble du groupe. La clé est de rester engagé.
Déconstruisant le slogan “c’est un progrès social”, les auteurs dénoncent un discours convenu dont la visée est essentiellement individualiste. En toile de fond des revendications d’euthanasie, il y a une conception étroite de la liberté, qui résiderait dans le maximum de choix individuels que la société est chargée de fournir. Derrière l’image lisse d’un choix libre et volontaire, “éclairé” comme le disent les promoteurs de la mort médicalement provoquée, les questions à se poser abondent :
- Comment parvenir à un consentement libre sous le poids de la souffrance : si elle est mal soulagée ? Si le malade est isolé, dépourvu de perspectives et de soutien ?
- Comment les équipes médicales prennent-elles en charge la dimension psychologique et relationnelle de la maladie, au-delà des aspects techniques ?
- Et crucialement aujourd’hui, ces équipes ont-elles les moyens d’un accompagnement fidèle au serment d’Hippocrate ? La crise actuelle du système de santé étend une sombre perspective sur ce point.
Êtes-vous rouge, vert, ENFT ou INFT ? Très en vogue dans la sphère professionnelle, des tests comme le DISC ou le MBTI promettent de cerner votre personnalité. Une technique séduisante, mais dont la fiabilité laisse à désirer.
Extrait :
Si l'analyse semble pointue, ces tests ont-ils une valeur scientifique ? « Ce sont des horoscopes pour des gens trop intelligents pour croire aux horoscopes », tranche Albert Moukheiber, docteur en neurosciences et psychologue. Selon lui, tout est fait pour que chacun se reconnaisse dans les résultats. Le procédé, bien connu en psychologie, repose sur l'effet Barnum. « Pour que cela fonctionne, il faut trois choses : que vous pensiez que ce test est personnalisé, que la personne qui vous le fait passer soit présentée comme compétente, et troisièmement que les résultats disent à peu près 70 % de choses positives sur vous. » Le scientifique nous met d'ailleurs au défi de passer un test avec cinq de nos collègues, de mélanger les résultats et de retrouver le nôtre.
⇒ À utiliser avec discernement !
Ensuite, ces représentations peuvent mettre à mal la prise en considération des besoins spécifiques des hauts potentiels. À force d’associer une série d’éléments hétéroclites et non fondés, la crédibilité de l’existence même du haut potentiel et la nécessité de sa prise en compte s’en trouvent minées.
Dans ce domaine où les fausses représentations sont encore nombreuses et tenaces, il importe de se référer aux résultats issus de la recherche afin d’éviter d’enfermer les personnes dans des représentations erronées et de pouvoir les accueillir dans toute leur singularité, en faisant preuve de nuances : hypersensible ou pas, en réussite ou pas, en souffrance ou pas.
Ces paroles-là reflètent ce que les neurosciences appellent le SSPN :
le Syndrome du stress post-narcissique. Il ressemble au Syndrome de stress post-traumatique, à la différence qu’il est insidieux et non pas brutal. Mais ce que nous apportent les neurosciences, c’est une meilleure compréhension du comportement de la victime. À cause du stress constant qu’elle subit, son cerveau n’est plus capable de fonctionner correctement, il est en mode survie, il n’a plus de capacité de réflexion ni d’analyse. La personne, non seulement ne peut plus raisonner correctement, mais encore, elle est coupée de ses émotions, de sa mémoire. Elle est en état de sidération.
Les tests d’associations implicites (TAI) sont des tâches informatisées de catégorisation de mots. Ainsi, il vous sera demandé de classer des images et des mots en groupes aussi rapidement que possible. Cette activité devrait durer environ 10 minutes. À la fin de chaque test, vous pourrez consulter une synthèse des résultats ainsi que des informations sur sa signification.
ATTENTION : Les TAI permettent d’estimer la force des associations entre plusieurs informations stockées en mémoire sémantique. Les TAI ne permettent absolument pas de prédire le comportement d’un individu ni d’affirmer que l’individu peut avoir des comportements discriminatoires ou non.
1 milliard de gens passent en moyenne 1h30 par jour sur TikTok, parce qu’ils sont addicts à ce qu’elle fait à leur cerveau.
Peut-être qu’il est temps de considérer le fait de poster sur les réseaux sociaux pour ce que c’est réellement : une action pathétique et misérable, un espoir d’exister dans un univers factice. Un appel au secours d’une personne malade.
Ne nous voilons pas la face : je suis tout aussi coupable que n’importe qui d’autre. Mais promis, je me soigne…
Un outil pour identifier sa tendance politique en fonction de ses choix personnels
Témoignage d'une femme qui a passé plusieurs années dans un organisme facilitant la transition de jeunes ados ou enfants et qui explique : « Les médecins ont reconnu en privé que ces faux auto-diagnostics étaient une manifestation de la contagion sociale. Ils ont même reconnu que le suicide comporte un élément de contagion sociale. Mais lorsque j'ai dit que les groupes de filles qui affluaient dans notre service semblaient indiquer que leurs problèmes de genre pouvaient être une manifestation de la contagion sociale, les médecins ont répondu que l'identité de genre reflétait quelque chose d'inné. »
Je viens de voir ce documentaire : https://odysee.com/@L'%C3%A9veildesPleuples:c/What-is-a-Woman----Version-fran%C3%A7aise:8
Une belle illustration de :
"La sexualité est une polarité qui s'appuie sur des spécificités biologiques. Son sens réside dans l'inouïe et merveilleuse capacité d'unir affectivement et physiquement deux êtres complémentaires pour donner la vie. Nier cette réalité pour définir la sexualité par la cible de ses désirs conduit forcément à la négation de ce qui est écrit dans son corps. Cette négation conduit à une tragique rupture intérieure. Les incessantes revendications des mouvements LBGT en sont l'expression. Elles cherchent à obtenir un assentiment social pour combler le désarroi que produit la contradiction de désirs opposés à sa nature biologique" (Jean-Daniel Rochat).