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Le Pape prend alors la parole et aborde la question en termes pastoraux et biologiques. «Je dis toujours aux prêtres que lorsqu'ils s'approchent d'une personne dans cette situation, avec un poids sur la conscience, parce que la marque qu'un avortement laisse sur une femme est profonde, qu'ils ne lui posent pas trop de questions et qu'ils soient miséricordieux, comme Jésus l'est [...]». Mais «le problème de l'avortement doit être considéré scientifiquement et avec une certaine froideur. N'importe quel livre d'embryologie nous apprend que dans le mois de la conception, l'ADN est déjà délimité et les organes sont déjà définis. Il ne s'agit donc pas d'un amas de cellules qui s'assemblent, mais d'une vie humaine». Le Pontife poursuit donc son argumentation et, comme il l'a fait en d'autres occasions, propose des questions: «Est-il licite d'éliminer une vie humaine pour résoudre le problème? Ou si j'ai recours à un médecin, est-il licite d'engager un tueur à gages pour éliminer une vie humaine afin de résoudre un problème?», demande le Pape aux jeunes.
Ce site vous donne des informations sur les conséquences attachées aux demandes de services occultes et à l’exercice des pouvoirs occultes. Ce site prend la suite du précédent, occultismedanger.free.fr qui est toujours en ligne…
Le point d'information central des communicants en Église
ParFreeTion est une plateforme où vous trouverez des partitions de chants polyphoniques catholiques, généreusement mises à votre entière disposition par leur compositeur !
En plus des partitions, vous trouverez des remarques sur la manière de chanter les chants, des enregistrements voix par voix et bien d'autres suppléments...
Stéphane Renard & Yves-Armel Martin font le point sur différentes pratiques et éléments de discernement. (Méditation de pleine conscience et méditation chrétienne, lien avec différentes pratiques traditionnelles chrétiennes...
Comment discerner si une pratique est compatible ou non.)
Comme prêtre, je ne peux recevoir cette marque de confiance qu’avec crainte et beaucoup de respect. C’est d’ailleurs pour cela que je suis, comme prêtre, intimement lié à cet homme ou cette femme qui vient se confesser. Lorsque celui qui est pardonné sort du sacrement, je lui demande de prier pour moi, reconnaissant qu’il est proche de Dieu, qu’il est plus juste que moi à ce moment-là.
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Un groupe de personnes catholiques et homosexuelles, venues des 4 coins du Monde, se retrouve à Lourdes - en France – pour parler d’un thème qu’elles connaissent bien : l’homosexualité.
Une très belle démarche au sein de la Communauté St Jean pour guérir et prévenir les abus spirituels. Ça bouge !
Se conformer au RGPD, c’est bien préserver la liberté des individus dont Jésus lui-même s’est assuré en son temps. C’est aussi reconnaître, comme depuis la création (Gn 4, 7), que l’humain a toujours le choix et que là est sa dignité (Si 15, 11.15 ; Jc 1, 13).
Aujourd'hui, la soif d'absolu est forte dans un monde occidental qui a perdu les fondements de la foi. Cela peut conduire certains à croiser des personnalités manipulatrices, ou même à devenir la proie de personnalités narcissiques qui détournent à leur profit la quête de Dieu. Ce sont même parfois de véritables systèmes d´emprise qui se mettent en place. Le mécanisme de l'emprise mentale conduit à de nombreux abus, dont l'abus spirituel, et peut causer de graves blessures psychologiques. Pourtant, depuis des millénaires, un trésor de sagesse existe dans les monastères où celles et ceux qui consacrent leur vie à la quête de Dieu ont balisé les dangers de cette quête. L'expérience qu'ils nous transmettent est aujourd'hui indispensable à notre discernement, que l'on soit croyant ou non. Ce documentaire a pour vocation d´informer et d´éduquer un large public aux possibles dangers de la recherche spirituelle.
Grâce à Dieu raconte l’histoire d’une blessure : le divorce entre des victimes de Bernard Preynat et des responsables du diocèse de Lyon. Ozon a choisi de nous présenter cette rupture sans avoir écouté toutes ses parties prenantes, mais en développant le seul point de vue des victimes. C’est ce qui fait de ce film une œuvre à la fois très intéressante et très limitée. Il ne reste qu’à souhaiter qu’il réalise un jour le film symétrique, genre « le point cardinal »… ou, plus vraisemblablement, que Mgr Barbarin lui-même profite de son retrait pour écrire, ne serait-ce que pour l’histoire, sa version des faits. Ce serait un vrai service à rendre à tous ceux qui veulent aujourd’hui faire œuvre de paix et restaurer cette unité. Le service de la vérité.
Nous sommes témoins que, piégé par une journaliste de Mag2Lyon qui s’était fait passer pour une victime, il l’a directement encouragée à porter plainte. Chacun peut lire le discours qu’il tint alors en privé, puisque cette journaliste publia fidèlement son verbatim : « Tant pis si c’est une honte supplémentaire pour l’Église, car cela peut rendre service à tout le monde. Si vous portez plainte, on va interroger ce prêtre, et c’est très bien. Et même pour lui parce qu’il faut arrêter de mentir. »
Le fait que l’Eglise s’exprime sur un sujet, sans plus guère de relais dans le monde politique, peut être aussi vu comme une chance. En effet, cela souligne que cette voix catholique ne cherche pas le pouvoir (si c’était le cas, c’est plutôt raté depuis un demi-siècle de recul politique), mais bien à faire un appel aux consciences.
Cette distinction fondamentale entre la foi catholique et la foi protestante, l’a-t-on suffisamment pesée et étudiée quand on a voulu, vers les années 1970, adopter les méthodes évangéliques ou pentecôtistes pour animer les assemblées de jeunes ?
Emmanuel Macron n’a pas cherché à dialoguer avec l’Église. Il lui a transmis une offre d’emploi, sans cacher le moins du monde le rapport de subordination qui s’ensuit. Il attend une Église « En Marche », adhérente et soumise à la discipline de son parti. Il a proposé hier à l’Église un poste de Chief Humanisation Officer dans la startup France.
Ce poste, c’est un job, ou plutôt un stage non rémunéré, sous l’autorité du Président de la République, consistant à lubrifier sa politique en lui assurant un vernis d’humanisme qui servirait à faire taire les râleurs d’un côté et de l’autre. Le service d’humanisme-washing « dont sa politique a besoin ».
Les archives du Vatican parlent peu à peu, et ce qu’elles livrent est édifiant : Pie XII aurait sauvé plus de 800 000 juifs dans le monde entier, dont 200 000 rien qu’en France.
« Je le répète souvent aux étudiants : si l’affiche qui annonce le week-end d’aumônerie n’est pas aussi bien faite que celle qui annonce le week-end de voile, ne vous plaignez pas du peu d’inscrits ! Pourquoi sous prétexte du « nous on propose du fond », on serait dispensé d’être pro dans la forme ? Au contraire, le décalage des deux est indéfendable. Cela vaut aussi pour les sites Internet de nos paroisses et de nos diocèses, pour les bulletins paroissiaux, pour les flyers…
Chez les cathos, la bonne volonté semble dispenser de la compétence. Il n’y a rien de plus faux ! Ce genre de raisonnement est souvent un paravent pour cacher notre paresse et notre refus de nous remettre en cause. Nous sommes en train de nous en rendre compte, et de multiples initiatives dans les communautés et les diocèses (campagne du denier, communications pour les JMJ ou pour les vocations par exemple ; mais aussi applications diverses et variées pour nos smartphones) prouvent que l’on peut vraiment faire du beau et de l’efficace, quand on en prend le temps et les moyens. De plus en plus, nous avons recours à des vrais professionnels pour nous aider : graphistes, agences de com, webdesigners. Le travail est immense. Y compris pour transmettre le message de l’Évangile aux « périphéries existentielles » dont parle le pape François. »
Abbé Grosjean
1. Voter en conscience
L’évêque que je suis ne donnera évidemment aucune consigne ou indication de vote avant le second tour. Sinon, j’entrerais dans une bataille politique qui n’est pas de la compétence de l’Eglise. Donner des consignes de vote, ce serait même dénier aux fidèles catholiques l’aptitude à se déterminer par eux-mêmes et à assumer de manière responsable leur droit civique, voire se substituer à leur conscience. Sans compter le risque que je prendrais de diviser les catholiques dont je dois reconnaître la diversité des opinions. En revanche, comme Pasteur, je dois encourager les catholiques à accomplir leur devoir de citoyen en conscience : qu’ils décident de voter ou de s’abstenir, que ce soit toujours en conscience. Il s’agit donc pour moi d’exhorter les fidèles à faire œuvre de discernement, c’est-à-dire de choix mûrement réfléchi. Et pour être vraiment libre, le choix doit s’affranchir de toute pression, mot d’ordre, harcèlement de l’image ou du slogan, et exige de prendre du recul et de la hauteur.
AELF a une API ! Je répète : AELF a une API ! Y'a plus qu'à faire les plugins ;-)