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Un groupe de personnes catholiques et homosexuelles, venues des 4 coins du Monde, se retrouve à Lourdes - en France – pour parler d’un thème qu’elles connaissent bien : l’homosexualité.
« Assumer pleinement son homosexualité revient aussi à accepter les limites qui en découlent. »
La meilleure preuve empirique du non déterminisme génétique, c'est les nombreux vrais jumeaux où un seul est gay.
Côté milieu, avec la contraception, on a séparé fortement l'union des corps et la procréation. Or, dans l'union des corps, il y a quelque chose d'assez mécanique pour provoquer le plaisir. Et cette mécanique fonctionne sans l'altérité des sexes...
De plus en plus, les enseignants sont amenés à évoquer l’homosexualité en cours, soit parce qu’ils ont des élèves directement concernés, soit parce qu’ils doivent faire face à un harcèlement entre élèves relevant de l’homophobie, soit parce que le contenu du cours traite directement ou indirectement d’homosexualité ou que le sujet est évoqué explicitement par un ou plusieurs élèves. Alors, aux instits et au professeurs courageux qui ont décidé de ne pas se taire (et ils sont rares !), et qui voudraient en parler simplement et en vérité, sans tomber dans une indifférence gay friendly complaisante/validante, Philippe nous donne ces quelques conseils
La lutte contre cette nouvelle religion n’est pas facile parce qu’elle avance masquée. Elle se présente comme un simple humanisme. Elle se fait écouter des responsables politiques en leur parlant d’élargissements des droits du citoyen. La loi Veil a autorisé l’avortement au motif d’aider des femmes « en extrême détresse » et non pas pour sa véritable raison : le corps féminin est une propriété privée et chacune en fait ce qu’elle veut. De même, la loi Taubira affirme ne rien viser d’autre que « le mariage pour tous », hétéros et homos à égalité. Elle cache soigneusement sa volonté d’effacer une différence sexuelle inscrite dans les corps. On commence à nous expliquer que « la PMA pour toutes » serait une mesure de justice et de compassion pour les femmes sans maris au lieu d’avouer qu’elle vise uniquement à satisfaire un désir arbitraire de l’esprit. La lutte contre le néocatharisme doit commencer en lui arrachant son masque : montrer qu’il est de nature religieuse et non politique ; qu’il défend des dogmes et non des droits de l’homme ; qu’il cherche des privilèges identitaires et non l’égalité citoyenne.
Lorsqu'on délègue l'entendement à un algorithme, celui-ci va plus vite que la raison, augmente l'entropie, c'est à dire l’homogénéisation et donc le désordre (alors que la raison est ce qui permet de désigner la finalité).
Voilà qui donne pas mal de pistes pour comprendre :
- le mariage pour tous
- l'écriture inclusive
- la PMA et GPA
- les études de genre
- la parité homme/femme
- …
Le désir d'enfant chez les personnes homosexuelles est éminemment légitime, mais ne peut cependant se réduire à une question d'accès à l'égalité, à des droits, et à la lutte contre les discriminations. Une telle vision simpliste implique en effet qu'il existerait une inégalité dans l'accès à la procréation pour les homosexuels, que cette inégalité serait le fruit d'une discrimination, et qu'il appartiendrait donc à l'État de corriger cette situation en ouvrant la PMA aux couples de femmes et en légalisant la GPA. Or, cet argument est fallacieux. En effet, deux hommes ou deux femmes ensemble ne peuvent intrinsèquement concevoir un enfant et cette impossibilité de procréer est une donnée objective qui n'est pas le fruit d'une quelconque action discriminante de la société ou de l'État ; elle est de nature, et propre à la condition homosexuelle. En ce sens, les personnes homosexuelles ne peuvent prétendre à une réparation de l'État afin de pallier une discrimination puisque cette dernière n'existe pas. Dire cela n'est pas de l'homophobie, mais simplement un rappel objectif des faits. Ce constat est peut-être difficile à entendre pour certains, mais nous pensons pour notre part qu'assumer pleinement son homosexualité revient aussi à accepter les limites qui en découlent.
On croirait lire ces copies du bac où l'élève démontre par A+B que le bonheur ne consiste pas à être l'esclave de ses désirs, pour finalement conclure: «Donc il faut satisfaire tous ses désirs pour être heureux.»
Un article de fond qui constate impuissant le primat du désir individuel s'imposant à la société.
Et donc, la Sécu va si mal qu'un rapport du Trésor demande de réduire la prise en charge des affections de longue durée, mais on ouvre la PMA aux couples de femmes.
En résumé: démerde-toi avec ton cancer ou ta sclérose en plaques, on préfère payer des bébés aux lesbiennes.
Ça va améliorer le climat social, je sens…
Demander un retrait d’un texte, sans en comprendre le contenu est précisément « intellectuellement discutable ». Il eut été plus intelligent scientifiquement d’en demander une éventuelle réécriture ou mieux de proposer une explication du texte.
Tony Anatrella est l’un des experts du Vatican sur l’homosexualité. Il a aussi rédigé une directive à l’intention des nouveaux évêques sur le signalement ou non des prêtres pédophiles. Par ailleurs psychothérapeute, ses méthodes ont fait l’objet d’accusations d’abus sexuels de ses anciens patients en 2006. L’affaire avait été classée sans suite. Aujourd’hui, un nouveau patient témoigne de ces méthodes troublantes.
Concernant les études, le psychiatre faisait remarquer qu’elles étaient plutôt optimistes car « ils sont sommés d’aller bien pour des raisons idéologiques, politiques et militantes ». À partir de là, « ils ne vont pas admettre que c’est compliqué pour eux ».
Jésus dans l’évangile nous montre l’exemple, conciliant accueil inconditionnel des personnes, telles qu’elles sont, et une même exigence pour tous. Charité et vérité sont indissociables.
... de puissantes techniques psychologiques destinées à manipuler l’opinion publique via les médias. But ultime : que la tolérance du vice devienne la vertu suprême.
La croyance sociale au CONSENTEMENT (Il suffirait que deux personnes soient d’accord pour que leur acte soit juste…)
Si dans l’Église on n’est pas capables de se respecter et de se le dire sans passer par exemple par le canal d’une reconnaissance officielle des liaisons homosexuelles alors on est encore loin de vivre l’Évangile et c’est d’abord ce chantier qu’il faudrait ouvrir.
On peut légitimement se demander si la discrimination ne serait pas en train de s’inverser. Les familles père-mère –enfant- sans même parler des familles nombreuses, qui sont celles qui contribuent le plus à l’économie de demain- sont les mal-aimés de nos gouvernants.
Bien que Fernando Maestre promeut parfois des idées sur la sexualité qui s’opposent à l’enseignement catholique, il a publié un article intitulé « La vertu avant le mariage », qui stipule que l’une des choses qui permet un mariage durable est « d’arriver chaste au mariage, c’est la manière de réaliser ses rêves ».
Jennifer se fondera sur une « violation de garantie » et plaidera également la « naissance injustifiée ».