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Confrontée elle aussi à une crise due aux excès de son secteur bancaire, l’Islande a refusé de transférer les pertes des banques aux contribuables et a dévalué sa monnaie. Résultat : la crise s’avère moins profonde que prévu et le redressement est en marche.
Le président islandais s'en explique sans ambages à Bruxelles : “La différence est qu’en Islande nous avons laissé les banques faire faillite, a-t-il expliqué. C’étaient des institutions privées ; nous n’y avons pas injecté de l’argent pour les maintenir à flot. L’Etat n’a pas à assumer cette responsabilité.”