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Dans de nombreux cas, la consommation régulière de cannabis peut développer une schizophrénie.
L’État préfère, semble-t-il, rester dans l’illégularité et s’affranchir du montant de l’astreinte (soit 100 euros par jour jusqu’à la publication du fameux décret). Une indemnisation en bonne et dûe forme, avec toutes ces années de retard, lui coûterait bien plus cher.
Un déclin marqué du quotient intellectuel (jusqu'à 8 points entre les deux mesures) a été retrouvé chez ceux qui ont commencé leur expérimentation dans l'adolescence, et qui sont ensuite devenus des fumeurs réguliers - au moins quatre fois par semaine -, pendant une longue période.
Et ce n’est pas le seul point commun entre le sucre et les drogues. Le sucre peut également provoquer une dépendance.
Les ados perdent 8 points de QI en fumant du cannabis
Plus dramatique encore que perdre jusqu’à 8 points de QI, ce sont les troubles de l’attention et de la mémoire qui sont également associés à cette consommation de drogue dite douce…
La mémoire de travail, permet de réaliser des opérations cognitives courantes (réfléchir, lire, écrire, calculer…) sur des informations stockées temporairement (de quelques secondes à quelques minutes). Cette capacité est responsable de l’intégration des informations sonores, visuelles et spatiales. L’un des effets majeurs de l’intoxication aux cannabinoïdes est l’altération de la mémoire de travail, à la fois observée chez l’homme et l’animal. Le cannabis entraîne des perturbations de cette fonction qui empêche son consommateur d’effectuer des tâches qu’il sait pourtant réaliser au quotidien.
Est-il illégal de posséder de la drogue uniquement pour sa consommation personnelle ?
Absolument. Il est faux de croire que la possession de drogue pour sa consommation personnelle est légale ! En effet, un adolescent peut être accusé de possession même si la drogue ne visait qu’un usage personnel. La loi prévoit que la présence, même minime, d’une substance illégale sur une personne suffit pour que cette dernière soit accusée de possession. Ainsi, le fait que Nestor n’ait sur lui qu’une très faible quantité de drogue ne rend pas la chose moins interdite pour autant.
Une nouvelle étude publiée en ligne sur le site de la revue Cancer révèle que le risque de développer la forma la plus agressive du cancer des testicules serait augmenté de 70% chez les consommateurs réguliers de haschisch et d’au moins 50% chez ceux qui en usent au moins une fois par semaine où qui ont commencé à fumer dès l’adolescence.