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L’ado pour tasanté.com, c’est une boule d’hormones sans cervelles qui veut juste niquer comme un lapin et ne surtout pas s’emmerder à réfléchir. Je serais ado, je me sentirais insultée.
A moins que ne se développent, comme nous le demandons, les banques de sang du cordon ombilical. C’est l’alternative éthique et démocratique à la technique du double DPI qui vient de faire franchir à la France une étape de plus dans l’eugénisme.
==> D'un DPI à l'autre, ça reste des pratiques dangereuses pour l'humanité...
Gianna Jessen, rescapée de l'avortement, tient une
conférence à Melbourne (2008), sous-titres en Français
« La loi naturelle détermine qu’il y a quelque chose d’exceptionnel dans l’homme. La commercialisation d’êtres humains est contraire à la loi qui est écrite dans le cœur de l’homme. La loi morale a vraiment une position sur l’ordre social juste. Quand la morale est exclue d’une société civile, les faibles et les vulnérables deviennent aisément exploitables au profit des forts et des puissants. C’est la pire sorte d’injustice. Il est nécessaire de la mettre en lumière. »
« Il y a une contradiction à vouloir soigner les patients atteints de myopathie en portant atteinte à la vie humaine déjà conçue, fut-elle sous forme embryonnaire. »
L’Alliance soutient les recherches éthiques dans le domaine de la myologie, elle se réjouit des progrès réalisés et encourage le Conseil scientifique du Téléthon à financer la recherche à partir de cellules du sang de cordon ou de cellules souches adultes.
L'humanité est une nature qui se constate et qui se reconnaît, et qui ne se confère pas.
« Cela revient à imposer aux femmes la vision d’un fœtus entier qui pend à son cordon entre leurs jambes alors qu’elles sont seules chez elles. Cela fait aussi horriblement mal. C’est de la maltraitance pure et simple. »
Maltraitance ou prise de conscience ?
Ici les chiffres viennent contredire l'idéologie. Mais du moins la mobilisation contre cet état de choses est-elle tolérée dans la grosse presse : ainsi même George Pitcher, anglican, plutôt de gauche, éditorialiste au Daily Telegraph pour les questions religieuses, en est-il à se demander s'il n'est pas grand temps de laisser un plus de place à l'enseignement sur le péché, comme on l'osait encore appeler naguère.
Pour apprendre aux jeunes à assumer les conséquences de leurs actes.
D'où vient cette conviction des féministes qu'elles ont le droit de disposer de leur corps et en conséquence de celui du fœtus? À ma connaissance, elles ne sont que porteuses avec une partie de leur gènes. En effet, le fœtus n'est pas un organe vital et il n'est qu'en transition dans le ventre de la mère. Je ne pense pas que le droit de disposer de son corps comprend celui d'interrompre la croissance du fœtus.
A l'hôpital calabrais de Rossano en Italie, un foetus est resté en vie après un avortement "thérapeutique" effectué à 22 semaines de grossesse avant de mourir par manque d'oxygène et de soins un peu plus de 24h après l'interruption de grossesse. Ce cas bouleverse l'opinion italienne.
Naître ou ne pas naître De l'avortement au bébé à tout prix.
- Bébé ‘à la carte’, bébé ‘parfait’, bébé ‘à tout prix’ : jusqu’où peut-on maîtriser la vie ?
- Pourquoi certains êtres humains sont-ils devenus ‘indésirables’ ?
- Quel est l’impact des nouveaux modes de procréation sur l’enfant ?
- 40% des Françaises subiront un jour un avortement d’après l’INED. Une autre politique est-elle possible ?
Tout se passe comme si l’avortement avait besoin d’un terreau culturel contraceptif pour croître, IVG et contraception étant les deux dimensions d’un même refus de l’enfant non planifié. En promouvant la diffusion tous azimuts de contraceptifs et abortifs précoces et en augmentant de 50% le forfait IVG, les pouvoirs publics sont parfaitement cohérents avec cette idéologie du mépris de la vie humaine.
Méfiez-vous d’affirmer que le ciel est bleu si ce rappel met en cause un intérêt militant.
Il est de plus en plus évident scientifiquement que, dès la conception, il s'agit d'un être vivant
L’ivg, même aujourd’hui, n’est pas un acte anodin. Médicalement et psychologiquement, l’interruption volontaire de la grossesse comporte des risques qui peuvent apparaitre rapidement ou avec le temps. C’est pourquoi, selon la loi du 4 juillet 2001, un entretien psychosocial doit obligatoirement être proposé lors de la première consultation médicale pré-ivg. Enfin, un délai de réflexion obligatoire de 7 jours avant la seconde consultation doit être rigoureusement respecté par le médecin afin que la femme puisse prendre une décision en toute connaissance, apres réflexion et éviter une situation difficile à vivre par la suite si l'acte est fait dans la précipitation ou sous la pression d'un tiers.
Madame Bachelot, la situation de l’avortement dans notre pays me bouleverse et je vous demande de toute urgence :
1/ De faire modifier le livret officiel d’information remis aux femmes enceintes en difficulté.
Au lieu de prôner l’IVG comme l’issue évidente de leur grossesse, il doit intégrer :
- le détail des aides permettant aux femmes d’éviter le recours à l’avortement ;
- un avertissement honnête sur les répercussions psychologiques de l’avortement.
2/ De lancer des campagnes gouvernementales pour promouvoir les droits des femmes enceintes, notamment en matière d’emploi et de protection face à toute violence ou pression économique, conjugale ou familiale.
On songe, effrayés, que nous avons tous été des foetus", et comme en France, "on peut le tuer tant qu'il n'est pas sorti du ventre de sa mère", on se dit donc rétrospectivement "qu'on l'a échappé belle".
Votre position pour le coup décrédibilise votre position contre le filtrage puisque vous estimez que la liberté d’opinion et d’expression doit être seconde vis à vis d’opinions qui sont dominantes.
Je vous suivais jusque là dans votre combat contre Lopsi et consort, j’ai maintenant de gros doutes sur votre recul.
Dans cette étude, on cite Louise Brinton, une chercheuse pour la U.S. National Cancer Institute (NCI) qui admet que l’avortement augmente le risque du cancer du sein de 40%.
De plus, l’étude de Dolle démontre un lien vérifiable entre l’utilisation d’un contraceptif oral et l’incidence d’un cancer de sein « triple-négatif » (un cancer de sein spécialement difficile à traiter), le risque de ce cancer pouvant quadrupler si la femme a utilisé cette sorte de contraceptif avant 18 ans ou si elle s’en est servi durant les cinq dernières années.
Le Blog de la défense de la Vie sur Grenoble et ses environs ...