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Le système français de retraite est un système par répartition. Ce système repose sur le fait que l’on cotise pour les autres et non pour soi. Ce système repose sur une forme de chaîne “pyramidale”, qui peut être assimilée au système Ponzi
L’héritage n’est plus un moyen de commencer dans la vie active. Tout juste un moyen de compléter une retraite.
Le Gouvernement présente au Parlement, avant le 31 décembre 2010, un rapport établissant la situation des régimes spécifiques de retraite des membres du Gouvernement et des parlementaires et définissant les conditions d'un alignement rapide et effectif de la situation de leurs régimes spécifiques sur le régime général, visant notamment à un encadrement strict des pensions reversées, tant dans leurs possibilités de cumuls que dans leurs montants.
Nos concitoyens supportent de plus en plus difficilement l'idée selon laquelle leurs élus et représentants bénéficieraient, dans leurs rémunérations comme dans la gestion de leurs droits sociaux, de dispositions dérogatoires du droit commun.
Les jeunes sont d’autant plus efficaces qu’il y a des salariés expérimentés pour les former, et l’innovation surgit plus facilement dans la diversité.
Une conférence présentant de manière ludique (voire humoristique) la question des retraites.
Pas convaincu...
« Si l’on vous offre un bon salaire pour fabriquer des cocottes en papier, refusez. »
Un syndicaliste chrétien tel que Gaston Tessier avait deviné, de manière prophétique, les conséquences de l’institution du monopole de la « Sécu » : irresponsabilité, gabegie, injustice. Or dans une organisation de la société conforme à la doctrine sociale de l’Église, ce n’est pas l’État qui fixerait autoritairement un âge de départ à 60, 62 ou 65 ans.
Chaque communauté professionnelle choisirait l’âge et les modalités qui conviennent. Et l’on peut comprendre que l’âge de la retraite du mineur de fond ne soit pas le même que celui du professeur d’université."
L'Assemblée a par ailleurs adopté un autre amendement permettant, pour tous les salariés de plus de 65 ans, de poursuivre leur activité, "sous reserve d'en avoir préalablement manifesté l'intention et dans la limite de 5 années".
La « fabrique du crétin » est l’ennemi Numéro Un de nos retraites comme de la croissance et de l’emploi.
Henri Sterdyniak, estime nécessaire, dans les années à venir, d'augmenter massivement le taux d'emploi des 55-65 ans, sinon nous ne pourrons pas financer les retraites. Il écarte la solution de la capitalisation.
« l’État est la grande fiction à travers laquelle chacun essaye de vivre aux dépens des autres »