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La Cité des Sciences a toujours bien accueilli les manifestations liées au libre, la censure n'est pas de leur fait, même s'ils ont dû la mettre en application. Pour ce qui est de l'INPI, c'est une question qu'il faudra leur poser. A mon avis il s'agit d'une maladresse fatale, au sens où elle était prévisible, vu la position exacerbée des tenants du tout propriétaire face au modèle du libre. On sait bien que le Libre peut être producteur de richesses, mais pas dans le cadre de leur business-model. Bon, c'est leur boutique, ils ne vont pas lâcher le morceau de bon coeur, et il ne faut donc pas s'attendre à un comportement raisonnable de leur part.
Cette censure est dérangeante à plus d'un titre. L'INPI est un établissement public qui a notamment pour mission de "former à la propriété industrielle et d’œuvrer pour son développement". Il assure ainsi chaque année environ 15 000 heures de formation, dont sont sans doute exclues les questions liées aux licences libres qui prennent pourtant une place croissante dans l'économie, en particulier du logiciel. L'INPI est aussi "fortement impliqué dans l’élaboration du droit de la propriété industrielle et représente la France dans les instances communautaires et internationales compétentes", ce qui en dit long sur la défense du libre par la France à l'échelle internationale.
Les organisateurs avaient prévu une petite section pour présenter le modèle de développement Logiciel Libre apportant sans aucun doute des éclairages par rapport aux points de vue "traditionnels" présentés au public, notablement par rapport au très répandu "copier c'est pas bien".
Suite à des pressions de l'INPI, toute mention de Logiciel Libre a été supprimée de cette exposition. Isabelle Vodjdani, artiste, maître de conférence à l'UFR d’arts plastiques et sciences de l’art, Université Paris I, membre de Copyleft_Attitude, responsable éditoriale de transactiv.exe, qui avait rédigé un texte concis définissant le Libre, ses enjeux et ses perspectives, a été simplement remerciée.
Pourquoi l’INPI a pris le risque de se ridiculiser en censurant un texte promis aux oubliettes ? Il faut croire que cette voix, aussi discrète soit-elle, dérange encore trop. Elle dérange parce qu’elle n’appartient pas au monde binaire que tentent de nous décrire les lobbys des ayant droit.
« D'abord ils vous ignorent, ensuite ils vous raillent, ensuite ils vous combattent et enfin, vous gagnez. » Gandhi
Si vous aimez le design et que vous pratiquez votre passion dans le plus strict respect des lois, alors les banques d’images gratuites, ça doit vous connaitre. Histoire de bien faire les choses, je vous propose donc de découvrir 50 adresses de sites qui risquent de s’avérer plutôt utiles.
« Si vous avez à faire à une compagnie qui possède un projet open source, vous pouvez être sûr à 95% qu’elle suit au moins un des dix points mentionnés ci-dessous »
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11 modèles économiques pour l'open-source.
Et SPIP ? Ben ça doit dépendre des développeurs, mais le 4) semble assez répandu...
Donc, toute éventuelle tentative d’influence de la part d’un de nos partenaires se solderait par un «tant pis au revoir». Parce qu’on peut se le permettre.
e veux dire qu’il y a des tas de métiers qui ont disparu. C’est l’histoire de l’évolution du monde : si le métier d’artiste lyrique tel qu’on le connait aujourd’hui doit disparaitre ou changer, cela ne doit pas pour autant être opposable à la liberté. Là, on parle des droits de l’homme. On ne peut opposer aux droits de l’homme, le confort d’un secteur socioprofessionnel.
« La bataille Hadopi » dessine les prémices d'une guerre qui ne fait que commencer. La Haute Autorité pour la Diffusion des Œuvres et la Protection des droits sur Internet est devenu plus que l'acronyme d'une propagande, c'est désormais un symbole. Le symbole d'une entreprise de contrôle des techniques et des usages d'Internet.
Le module TerCompta (Neogia Comptabilité Gestion pour la Petite et Moyenne entreprise et l'Auto-entrepreneur) de Neogia est une solution destinée aux petites entreprises, artisans et auto-entrepreneurs ayant un besoin de comptabilité simple ne nécessitant pas toute la structure d'un logiciel en partie double.
A l'heure où Hadopi est d'actualité, on constate à quel point le choc entre la vieille économie, celle du matériel et la nouvelle, celle des idées donne lieu à des affrontements à tous les niveaux (au niveau législatif pour Hadopi, économique pour les majors de l'industrie du divertissement de masse). On voit bien les tentatives désespérées de recréer de la rareté dans un monde où l'abondance est la règle.
Alors que l’Assemblée Nationale s’apprête à voter, dans les mois qui viennent, une loi stupide qui sera dépassée à peine son décret d’application promulgué, le véritable enjeu est ailleurs, infiniment plus important que la mise au pas de vilains « pirates » (dont le tord qu’ils sont censés causer à l’industrie n’est toujours pas démontré à ce jour). Le véritable enjeu est de savoir quelles nations écriront demain la Culture du XXIe siècle, rien de moins, ceci en se libérant de la prison que lui ont construit ceux qui ont tiré profit de la Culture du XXe siècle.
Peut-être que c'est la relation commerciale client-fournisseur à la sauce Microsoft qui est la bonne ? Je n'en sais rien encore, mais c'est à ceux qui utilisent les logiciels Libres sans pour l'instant contribuer à leur développement (en nature ou financièrement) qu'il faut poser la question... A défaut de comprendre qu'"Un logiciel Libre est gratuit une fois qu'il a été payé", on verra le modèle Microsoft perdurer...
Dans le commentaire de sa dernière étude sur l'Open Source (parue en décembre 2008), le cabinet Evans Data rappelle que le libre permet un processus de correction de bug beaucoup plus rapide que dans l'édition logicielle traditionnelle. Pour peu naturellement que la communauté gravitant autour du projet soit suffisamment dynamique, et donc réactive.
Voici donc un article synthétique qui dresse la liste des cinq idées fausses les plus répandues concernant le Libre, et les arguments à y opposer lorsqu'au détour d'une conversation sur Internet ou chez vos amis un vilain troll pointe le bout de son nez...
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Parenthèse : Microsoft risque d'ailleurs de perdre un client important au profit du libre...
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