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culture
Non, vraiment : le problème n'est pas les auteurs (producteurs d’art), ni les internautes (consommateurs d’art). Ce sont les intermédiaires (profiteurs, voleurs, saboteurs d’art). C’est pour ça que des gens prennent la décision de ne plus consommer la culture de la même façon. Et c’est bien ce que je vais faire aussi, de plus en plus.
L'AIMSA est un site légal et Gratuit non affilié à l'Hadopi L'AIMSA ne brasse pas d'argent L'AIMSA s'occupe de culture L'AIMSA a été crée pour mettre des bâtons dans les roues des lobbies qui ont dicté l'Hadopi aux politiques et ont pris en otage la musique avec pour seul objectif de faire de l'argent pour leurs dirigeants L'AIMSA a été crée pour démocratiser l'accès à vos oreilles pour tous les artistes hors système (SACEM - SPRE - FM -MAJORS) L'AIMSA c'est un nouveau système de diffusion en marge du système en place depuis des années qui prend les mélomanes pour des vaches à lait et les artistes pour des imbéciles L'AIMSA a pour seules ressources les dons des membres de son bureau qui sont plus mécènes que bénévoles et les dons éventuels de ses membres L'AIMSA affiche ses comptes à la ligne pour tout Internaute en toute transparence sur son Forum Bienvenu à l'AIMSA !
Qui sait si mon petit modèle économique permettra de financer de nouveaux albums, mais même l’échec vaut mieux que le système de distribution pourri dont les artistes souffrent depuis plus de cinquante ans.
Nous espérons que vous apprécierez la musique autant que nous l’apprécions en la créant .
Nous espérons que vous apprécierez la musique autant que nous l’apprécions en la créant .
Mais en tant que consommateur, vous n'êtes prêt à payer que pour votre propre satisfaction, et non en fonction de la satisfaction que vous apportez à la collectivité. Il revient donc à l'Etat de subventionner la différence entre l'une et l'autre. Dans le cas contraire, le marché qui, laissé libre, ne peut subvenir qu'à la somme des demandes individuelles, produira moins de pièces de théâtre que ce dont la société a besoin.
Et voilà une vidéo qui pourrait être utiliser par HADOPI pour justifier son existence. Et par ses détracteur pour justifier que la culture doit être librement partagée.
Alors que vous travaillez au quotidien pour une création artistique et culturelle qui élève in fine l'ensemble de la société, nous vous proposons d'élargir cette approche de manière systémique. Votre billetterie autant que la gestion de vos relations publiques (et plus encore) peuvent participer de la même démarche en contribuant aux biens communs. C'est ce que nous vous proposons à travers le logiciel libre e-venement que nous avons initié il y a cinq ans, et qui est aujourd'hui développé et utilisé en coopération autant au Maghreb qu'en France et en Europe.
Le 12 mai 2012 a lieu la 6e « Nuit des Cathédrales ». Les cathédrales participantes vont laisser leurs portes ouvertes jusqu’à minuit et au-delà. Elles proposent un programme culturel et spirituel varié avec concerts, expositions, conférences, spectacles, visites guidées, méditations, prières et temps de silence.
Notre pays hérite de l'effort culturel des générations précédentes. La culture ne coïncide pas avec la production culturelle ou même avec la réception de ses produits. Elle permet à chaque personne d'inscrire sa destinée dans la communauté humaine avec celle des autres devant les horizons de la plus grande espérance. Il est souhaitable que les pouvoirs publics assemblent les conditions pour que les jeunes générations profitent de ce que nous lègue le passé pour se projeter dans l'avenir.
Pour Nicolas Sarkozy, la culture n’a jamais été un simple supplément d’âme mais un supplément de revenus. Elle est un espace source de revenus, le socle de notre puissance, un moyen de présurer les gens en temps de crise dans un monde où les valeurs et les repères se dégradent. Elle devait par conséquent être commercialisée et, surtout, monnayée envers et contre tous. En dépit du contexte budgétaire contraint, les intermédiaires et ayants droits ont reçu les moyens qu'ils ont exigés. La diffusion payante a été protégée par une politique de droits d'auteurs tournée exclusivement à l'avantage des intermédiaires qui ramassent la mise à la place des artistes. (J'ai librement réécrit le texte de la propagande).
Ça grogne du côté des auteurs au ministère de la Culture. Selon nos informations, une étude réalisée par le cabinet Mazars à la demande de la direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) a été trappée au dernier moment sur décision de la rue de Valois. Elle devait être communiquée à l'occasion de l'ouverture du Forum d'Avignon, et s'intéressait à la rémunération des ayants droit à l'ère du numérique. Mais ses conclusions auraient déplu, en particulier du côté des producteurs.
L'étude, dont les conclusions s'ébruitent dans les couloirs de la filière culturelle, aurait en effet démontré que le numérique était une grande chance pour les auteurs, et plaidé pour la gestion collective obligatoire que refusent les producteurs de musique et de cinéma.
L'étude, dont les conclusions s'ébruitent dans les couloirs de la filière culturelle, aurait en effet démontré que le numérique était une grande chance pour les auteurs, et plaidé pour la gestion collective obligatoire que refusent les producteurs de musique et de cinéma.
Un site qui permet à des artistes émergents de vendre leur musique "en direct" à leurs fans
Une infographie interactive présentant les évolutions du web d'un point de vue technologique
Quand les ayants-droit s'approprient notre culture, notre histoire: Il n'est pas possible de voir le discours historique de Martin Luther King, car ses ayants-droit affirment leurs droits dessus et on demandé la suppression de YouTube. Plus aucune vidéo de ce discours historique n'est visible sur internet. Les droits expireront en 2038.
J'en ai assez que nos gouvernements confondent Culture et industrie du divertissement de masse !
J'écoute personnellement peu de musique. Les débats radicaux sur la contrefaçon musicale m'étaient un peu étrangers et je ne regardais la question que sous l’angle des effets de bord induits par la lutte anti-piratage... jusqu'à maintenant.
Aujourd’hui nous avons voulu acheter un vieil album de musique plus à la mode. Avec un léger doute en nous connectant nous l’avons tout de même trouvé rapidement. Voilà le résultat de notre expérience. Ceci n’est pas une fiction.
Aujourd’hui nous avons voulu acheter un vieil album de musique plus à la mode. Avec un léger doute en nous connectant nous l’avons tout de même trouvé rapidement. Voilà le résultat de notre expérience. Ceci n’est pas une fiction.
il n'a jamais été démontré que l'apport des producteurs de disques au bien-être sociétal est tel qu'ils méritent d'être sauvegardés quoi qu'il en coûte.
Près d'Orléans, une aire d'autoroute avec le Géodrome : une vue réduite de la france avec ses rochers caractéristiques.
Des enfants découvrent des objets vieux de 30 ans... Ça nous rajeuni pas !!!
Par contre, ni BMG Rights, ni X5 Music, à une moindre échelle, ne manifestent de velléités d'investir dans la production ou le développement de nouveaux talents, ce qui n'est pas très bon signe. D'un industrie essentiellement axée sur la production de nouveautés, appelées à constituer les fonds de catalogue de demain, l'industrie de la musique risque fort de se transformer de plus en plus en machine à exploiter des standards dont la production a déjà été largement amortie et à resservir essentiellement des plats réchauffés.
Les salons de coiffure protestent contre la hausse de la redevance exigée par la SACEM. Ne souhaitant pas répercuter cette augmentation sur leurs prestations, les coiffeurs couperont le son dans leur salon à partir du 7 décembre. Une bonne occasion pour rappeler l'existence d'une véritable alternative, la musique libre.