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Toute personne majeure peut, si elle le souhaite, faire une déclaration écrite appelée directives anticipées pour préciser ses souhaits concernant sa fin de vie. Ce document aidera les médecins, le moment venu, à prendre leurs décisions sur les soins à donner, si la personne ne peut plus exprimer ses volontés.
Légalement, l’avortement reste une exception à un principe
Dès son origine, la loi prévoyant la possibilité d’avorter a pris soin de rappeler en premier lieu qu’elle « garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie » (art. L 2211-1 du code de la santé publique). L’article suivant indique qu’il ne saurait être porté atteinte à ce principe « qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par le présent titre », ledit titre étant relatif à l’IVG. La loi établit donc clairement qu’elle permet de porter atteinte au respect de l’être humain au commencement de sa vie.
Dès son origine, la loi prévoyant la possibilité d’avorter a pris soin de rappeler en premier lieu qu’elle « garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie » (art. L 2211-1 du code de la santé publique). L’article suivant indique qu’il ne saurait être porté atteinte à ce principe « qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par le présent titre », ledit titre étant relatif à l’IVG. La loi établit donc clairement qu’elle permet de porter atteinte au respect de l’être humain au commencement de sa vie.
Finalement, j’utilise désormais un logiciel que j’héberge moi-même. Ça représente un léger investissement financier et, surtout, plus de travail pour l’administrer et le tenir à jour, mais, au moins, il ne fermera pas demain !
« Ne sait pas ». C’est sans doute elle, donc, qu’il faut cocher, pour dire qu’on préfère le croire même à tort : notre meilleur garant, c’est de faire confiance. Il me semble donc, au terme de cette introspection, plus simple de faire confiance à ceux qui, si tout va bien quand tout ira mal, m’entoureront : médecins, famille, Dieu.
Des chercheurs démontrent que plus on a le choix, moins on est heureux !
En effet, à toujours revendiquer notre liberté, nous avons maintenant beaucoup, et même trop de choix, ce qui nous amène à des comportements particuliers : la paralysie, l'insatisfaction et la culpabilité.