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Hadopi
Une très longue argumentation en faveur du partage culturel via le "piratage"
Des gens biens chez Free !
Des choses biens, d'autres à la ramasse. En particulier sur HADOPI qui est un choix de société marchande et non culturelle. Dommage !
L’État préfère, semble-t-il, rester dans l’illégularité et s’affranchir du montant de l’astreinte (soit 100 euros par jour jusqu’à la publication du fameux décret). Une indemnisation en bonne et dûe forme, avec toutes ces années de retard, lui coûterait bien plus cher.
Entièrement d'accord avec : « Et pourquoi ça ne seraient pas les @µ%$# du ©opyright qui payeraient ces conneries ? Ce sont eux qui ont détourné le système du droit d’auteur contre les créateurs et leurs public afin d’en tirer profit… Et c’est pas comme si l’État payait déjà un système judiciaire avec des lois qu’il suffit d’appliquer. »
L’HADOPI sera désormais tout sauf indépendante en perdra non seulement son secrétaire général qui au fil des ans était parvenu à ouvrir un dialogue avec toutes les parties, même les plus opposées à la loi Création et Internet, mais elle perdra ses missions les plus nobles et les moins absurdes. L’HADOPI va montrer le visage que nous craignions depuis le vote de cette loi : une subvention étatique déguisée, cadeau fait aux majors ; Un outil exclusivement répressif : une petite milice au service exclusif des ayants droit.
Il semblerait qu'un obscur propriétaire d'une concession automobile ait « peut-être » une autre source de revenus… Ah oui, en plus il est de droite (extrême ?) et fait adopter son amendement par un gouvernement de gauche. Il est trop fort !
Mais si le cas MegaUpload "a marqué un tournant" dans la lutte contre le piratage, il n'a pas eu d'effet significatif sur l'attitude des pirates.
Voilà qui est très bien vu sur la réalité d'HADOPI
Comme nous l'avions dit déjà il y a trois ans, la santé d'Internet dépend en grande partie de la santé du P2P, quelle que soit la forme technologique qu'il prendra. Or c'est aussi à la loi d'évoluer pour favoriser ces échanges symétriques, alors que la loi est encore conçue, inspirée par les médias d'antan, pour concentrer dans quelques mains les droits de diffusion et ne faire du public que des consommateurs. Changez la loi, et c'est un nouveau modèle social culturel qui naîtra, et une meilleure vitalité du net qui sera assurée
taxe copie privée. On paye en effet parce que les éditeurs estiment qu’un support de stockage (clé USB, disque dur…) va forcément servir à contenir des contenus piratés.
Alors que les Socialistes s'étaient vivement opposés à la loi Hadopi qu'elle avait portée avec une rare mauvaise foi, l'ancienne ministre de la Culture Christine Albanel a été faite Chevalier de la Légion d'Honneur par le président socialiste François Hollande.
J’ai reçu ce matin ma première recommandation HADOPI. Voici la lettre de contestation que je leur ai adressée
Il est donc impossible aujourd’hui en France qu’une offre de Streaming légal de films ou de séries ne puisse s’imposer, car les contenus récents ont soit été verrouillés par les chaînes de TV, soit ne peuvent être diffusés que 3 ans après leur sortie…
En ce qui me concerne, je continue d’utiliser principalement le P2P (emule, torrent, …) avec filtrage d’IP :
… par résistance : le gouvernement veut qu’on arrête de l’utiliser. C’est une excellente raison pour y rester.
… par militantisme : le P2P représente d’avantage l’idée du partage entre internautes que le téléchargement direct qui passe par des intermédiaires qui se font plus ou moins d’argent sur notre dos.
… par sécurité : les réseaux P2P sont quasiment indestructibles, car non centralisés, contrairement au téléchargement direct qui repose sur des serveurs centralisés donc vulnérables (cf. Megaupload).
… par résistance : le gouvernement veut qu’on arrête de l’utiliser. C’est une excellente raison pour y rester.
… par militantisme : le P2P représente d’avantage l’idée du partage entre internautes que le téléchargement direct qui passe par des intermédiaires qui se font plus ou moins d’argent sur notre dos.
… par sécurité : les réseaux P2P sont quasiment indestructibles, car non centralisés, contrairement au téléchargement direct qui repose sur des serveurs centralisés donc vulnérables (cf. Megaupload).
OK, les artistes et créateurs doivent pouvoir vivre de leur art, mais est-ce que ça doit forcément passer par des moyens qui font chier l’utilisateur ?
Mais il faut pousser la réflexion un peu plus loin pour comprendre jusqu’où va cette proposition de reconnaissance des échanges non marchands. L’HADOPI dit étudier la faisabilité de cette reconnaissance des ces échanges en proposant une compensation financière aux ayants droit, payée par les entités qui tirent un profit direct ou indirect de la mise à disposition des œuvres.
On nous a fait parvenir cette lettre d’un responsable d’Hadopi qui ne perd pas de temps et souhaite s’inviter dans l’Éducation nationale en animant des ateliers de « sensibilisation » en direction des professeurs et des élèves. Pour ce faire (et c’est malin), on contacte les personnes en charge de la vie lycéenne dans les rectorats.
Via Numerama : « La blogueuse Klaire a réalisé le test intégral des plateformes légales de vidéos ayant reçu le précieux label "PUR" par la Hadopi. Téléchargement impossible après paiement, problèmes techniques, offre inexistante... Résultat : 16 des 20 plateformes testées posent problème. »