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Où son esprit est-il allé ? C’est la question à laquelle l’humanité cherche une réponse depuis que l’être humain a pris conscience de la brièveté de son enveloppe corporelle.
Mais moi, je sais qu’ils s’aimeront pour toujours.
Quand on a 25 millions d'information nécrologiques, dans une base de données publique, du temps et du talent, ça donne ça !
Une vidéo qui fait appel au cerveau reptilien (les émotions) pour faire passer un message mensonger… Ce qui est intéressant, c'est de voir que le message dit explicitement qu'un squelette n'a pas de sexe, pas d'idées, pas de convictions. Bref, ce message de la culture mortifère met en scène des morts. De plus, une partie du message est pourtant intéressante. Ce qui rajoute à la confusion… des genres.
Selon un passage jusqu'ici peu commenté de la Charte des droits fondamentaux, la peine de mort ou plus généralement le fait de tuer des personnes pourrait être légal en "temps de guerre", de "danger imminent" de guerre, pour "réprimer une émeute ou une insurrection", notamment.
On observe dans notre société un certain refus de parler de la mort : on parle de décès, de disparition, et le comble de l’hypocrisie se révèle bien dans ce terme d’euthanasie, qui masque la réalité qu’il désigne en s’abritant sous des sonorités grecques, dont on a prouvé je crois qu’elles relevaient d’une mascarade. Dans l’euthanasie, le mourant est privé de sa mort, ce qui est exactement le contraire de la bonne mort chez les grecs, comme chez tous nos ancêtres.
En attendant les obsèques, enterrements et crémations virtuelles, Google vous propose déjà votre testament numérique. Une nouvelle fonction vous permet de pouvoir léguer vos données en cas de décès.
« Je suis heureux de ces 3 dernières années. De n'avoir rien laissé non-dit. »