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Nicolas Sarkozy réagissait notamment au déploiement d’une banderole lors du match Bastia-PSG : « Le Qatar finance le PSG…et le terrorisme ». Une accusation déplacée selon Nicolas Sarkozy : « Le Qatar est un pays ami de la France. Pas depuis moi, c'est François Mitterrand ». « Vous croyez, a-t-il poursuivi, que François Mitterrand, Jacques Chirac, moi-même hier, François Hollande aujourd'hui, on aurait cette politique d'amitié avec le Qatar si nous pensions que le Qatar, c'était uniquement le financeur du terrorisme ? ». ==> Voilà un « uniquement » lourd de sens !
Sur le réseau social Twitter, de nombreuses femmes, rassemblées derrière le hashtag #SafeDansLaRue, racontent leurs techniques pour se sentir en sécurité quand elles sont dans la rue la nuit.
En 2013, les prélèvements augmentent cette fois-ci de 22,1 milliards (1,6 milliard imputable à des mesures décidées par Nicolas Sarkozy, 20,3 milliards à François Hollande).
« Le contribuable s’est fait escroquer, c’est pour moi une évidence. »
A l’origine,un rapport de la cour des comptes (pdf), et un article publié sur Politique.net qui révèle que le site de l’ancienne première dame aurait coûté 410 000 euros au contribuable. A ce prix, là on s’attend naturellement à une véritable merveille, d’une qualité de code irréprochable, d’un design somptueux, d’une horde de hackers chinois qui met à jour le site toutes les heures… bref quelque chose de bling bling et bien vivant. Je suis donc naturellement allé jeter un œil, et assez rapidement, j’ai pu prendre la mesure de la catastrophe.
La philosophie libertaire n’a d’autre objet que de justifier cet égoïsme de classe. Et les lois libertaires qui déstructurent le mariage et la famille, ainsi que la culture et l’éducation, ont pour objet principal de tenter de solidariser le peuple avec cette philosophie qui le ruine. A partir du moment où l’on peut décider arbitrairement n’importe quoi en matière familiale, et qu’on peut même fabriquer des orphelins pour son plaisir, comment n’aurait-on pas le droit, à bien plus forte raison, de faire n’importe quoi de son argent dans la seule vue de son intérêt égoïste à court terme et même de fabriquer des chômeurs si on peut en tirer profit ?
Et la marmotte...
Damir n’est pas le seul. Depuis la circulaire du 31 mai 2011, dite “circulaire Guéant”, des étudiants étrangers hautement qualifiés ayant effectué leurs études en France se voient refuser de travailler en France alors même qu’ils ont une promesse d’embauche, qu’ils ne peuvent pas être remplacées par des Français de même niveau et qu’ils apporteraient beaucoup à notre pays.
Mediapart révèle le contenu d'une note de synthèse, versée au dossier d'instruction de l'affaire Karachi, qui semble établir que le régime libyen de Mouammar Kadhafi a versé 50 millions d'euros pour financer la précédente campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy.
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel : « Nous avons décidé de ne pas nous représenter aux prochaines élections dans nos pays. »
Dans son édition à paraître vendredi, Marianne revient en détails avec des documents exclusifs sur le coup de poignard donné par Nicolas Sarkozy au projet de défense de la liberté d'expression sur Internet qu'avait porté Bernard Kouchner au gouvernement.
«Cette ambassade n'est pas en mesure de vérifier la véracité de l'accusation selon laquelle des hommes politiques français ont bénéficié du détournement de fonds», se contente de conclure le câble, signé de l'ambassadeur américain au Cameroun Janet Garvey.
Le but de ce propos étant de préserver son poste de ministre alors que ses condamnations lui auraient valu un aller simple pour la sortie dans n’importe quel pays où les ministres méritent encore d’être qualifiés de responsables, signe l’opportunité politique.
Un commentaire du Conseil constitutionnel sur l’élection présidentielle de 2007 : « L’intrusion des machines à voter dépossède les citoyens de tout cela. Elle rend opaque ce qui était visible. Elle met fin à une ‘communion citoyenne’. Elle prive le corps électoral de la surveillance collective des opérations dans lesquelles s’incarne le suffrage universel. »
Entre la laïcité et le respect de la femme d’un côté, et les royalties de Johnny Halliday de l’autre, l’État a choisi son camp.
L’Eglise n’est pas une démocratie. Elle ne décide pas s’il est bon d’accueillir l’étranger après avoir sondé les fidèles. Que la parole des évêques veuille secouer jusqu’aux fidèles, voilà qui est parfait. Que les fidèles rechignent à se laisser secouer, voilà qui est banal.
Il n’est pas étonnant que, dans un premier temps, ces mesures, habilement présentées, recueillent l’assentiment d’une majorité de la population. Elles sont minutieusement étudiées pour, dans un premier temps, flatter ce qu’il y a de plus bas, de plus vil, de plus vulgaire en nous tous. Mais il suffit d’un peu de réflexion, d’un peu de temps pour que la raison reprenne ses droits.
En confiant Internet à un fidèle, l’Elysée amorce une stratégie de pré-campagne pour « contrôler Internet » avant l’échance de 2012.
Un peu comme si on demandait à la police d’arrêter les pickpockets par tous les moyens (y compris de faire feu au milieu d’une foule dans un métro bondé)…