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C’est le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), organe de l’Organisation Mondiale de la Santé, qui l’affirme. Le glyphosate, principe actif utilisé dans les herbicides, dont en grande partie le fameux herbicide RoundUp, est un cancerogène « probable » …
L'étude russe qui prouve que les OGM stériliseront l'humanité au bout de 3 Générations - Notre Terre
Ainsi, à la troisième génération, les hamsters qui, pour les besoins de l'étude, ont eu, dans leur menu, une part importante de soja OGM, n'étaient plus capables de se reproduire...
Mais une récente étude pourrait bien balayer ce sacro-saint principe d’équivalence en substance et mettre à mal l’industrie du génétiquement modifié.
L’Amarante fait partie des aliments les plus anciens du monde. Chaque plante produit en moyenne 12 000 graines par an, et les feuilles, plus riches en protéines que le soja, pourtant champion du monde, contiennent des vitamines A et C et des sels minéraux.
C’est exactement la même démarche qu’avec les plantes génétiquement modifiées (PGM), où on nous annonce depuis des années la fabrication de plantes qui pousseront dans le désert, qui fixeront l’azote de l’air. Tout cela relève du fantasme absolu : croire que l’on pourra surmonter des phénomènes aussi complexes, dont on ne connaît rien – ou pas grand-chose – des mécanismes intimes, en introduisant un, deux, trois, ou cinq gènes dans une plante, c’est croire au père Noël, mais c’est vendeur…
Dans les faits, la quasi-totalité des plantes génétiquement modifiées cultivées à la surface de la planète ou qui font l’objet de demandes d’autorisation, sont toujours des plantes conçues pour accumuler des pesticides (insecticides et/ou herbicides) et rien d’autre.
Il est intéressant de noter que les scientifiques qui ont signé cette méta-analyse controversée sont aussi ceux qui attaquent Gille-Eric Séralini. Or, ils sont connus pour leur grande proximité avec … Monsanto et consorts. Sur mon Blog, j’ai déjà révélé les liens entre le Dr. Kuntz, qui dirige l’AFIS, et Monsanto
Il semblerait que l'étude sur les OGM dont tout le monde parle ces jours-ci soit entachée de nombreux biais méthodologiques la rendant sans valeur scientifique.
Le financement provient de Carrefour et d’Auchan, des chaînes de distribution Françaises, qui ne veulent pas une nouvelle crise alimentaire depuis la vache folle.
Tout ce secret pour quoi ?
Pour éviter les pressions des puissants industriels, du géant américain Monsanto notamment (qui fait pression sur l’UE pour vendre ses semences en Europe depuis des années), et des politiques. Voilà où en sont rendus la puissance des lobbies. Oh, ça existe depuis bien longtemps, mais là ça se montre au grand jour.
Comparaison implacable : les rats nourris au maïs OGM déclenchent donc de deux à trois fois plus de tumeurs que les rats nourris sans OGM quel que soit leur sexe. Au début du 24e mois, c’est-à-dire à la fin de leur vie, de 50% à 80% des femelles nourries aux OGM sont touchées contre seulement 30% chez les sans-OGM.
Face à ce risque inadmissible, nous demandons instamment à John Dalli, Commissaire européen à la Santé et à la Consommation, et à nos décideurs européens et nationaux de protéger l’abeille, l’apiculture et les professionnels de l’apiculture et de :
- suspendre immédiatement et ne pas renouveler l’autorisation de culture en plein champ du maïs MON 810,
- bloquer l’avancée de tous les dossiers de plantes génétiquement modifiées nectarifères ou pollinifères,
- faire évaluer rigoureusement l’impact des plantes transgéniques sur les ruchers, notamment les couvains et les abeilles hivernales, et de rendre publics tous les protocoles et résultats
- respecter le droit à la transparence pour les consommateurs.
Le miel et les produits de la ruche doivent rester des aliments sains et naturels.
Des super lapins produisant des médicaments, des cochons « Enviropig » génétiquement modifiés pour moins polluer, des saumons « Frankenfish » qui grandissent deux fois plus vite, des vaches hypermusclées, ou des chèvres dont le lait fabrique de la soie... Des États-Unis à la Chine, les chercheurs s’en donnent à cœur joie pour greffer des gènes et croiser des espèces. Et attendent avec impatience les autorisations de mise sur le marché. Basta ! a enquêté.
La fondation Bill & Melinda Gates investit chez Monsanto
Pour l’heure, le Vatican n’a pas arrêté de position claire sur la question et, selon le NRC, des indices laissaient croire qu’il étaient plutôt réservé sur les OGM. On verra ce que décidera Benoît XVI.
Par tous les moyens, la Commission européenne tente d’imposer par la force le retour des cultures OGM en s’appuyant sur quelques Etats membres pro OGM (Suède, Grande-Bretagne, Pays-Bas, Finlande).
Demandez aux ambassadeurs de ces pays de laisser la France et la Grèce libres de refuser des cultures potentiellement dangereuses et mal évaluées !
Un "jugement sur le fond"
Le jugement qui remonte au 5 décembre, note que le conseil municipal était fondé à agir, car la question des OGM "du fait de son impact éventuel sur la santé publique et l'environnement intéresse la commune du Thor, à vocation essentiellement agricole".
"Nous sommes la première commune à avoir un jugement sur le fond", a déclaré à l'AFP Jacques Olivier, maire (Verts) de cette commune de 7.600 habitants qui a eu connaissance du jugement début janvier. "C'est une victoire pour l'ensemble des gens qui se battent pour la vie et la biodiversité, pour une agriculture de qualité et de proximité".
« Adopté en juin 2007 par les ministres européens de l'Agriculture, ce nouveau texte législatif autorise la présence "fortuite ou techniquement inévitable" d'OGM à hauteur de 0,9% dans les produits bio. Au-delà de ce seuil, ces aliments devront être étiquetés comme contenant des OGM. En deçà, aucune indication au consommateur n'est prévue. »
À quand les produits bio étiqueté "Sans OGM" ?
Une première condition indispensable pour qui veut tenter de clarifier les choses est de dissocier deux aspects très différents de cette question, l’un relevant du domaine scientifique, l’autre de questionnements socio-économiques et éthiques.
- L’aspect scientifique comporte lui-même deux volets. Le premier relève directement de la génétique : les OGM représentent-ils quelque chose de radicalement nouveau dans le monde vivant ? L’autre concerne leurs risques et avantages éventuels.
- L’aspect socio-économique peut se résumer en une question : les OGM, au bénéfice de qui ? Mais cette question en cache une autre, bien plus cruciale : faut-il accepter la privatisation du patrimoine génétique des êtres vivants ?
Ces deux aspects sont constamment amalgamés dans le débat public. La distinction entre eux est pourtant essentielle car ils peuvent conduire à des prises de position très différentes.
Présentation facile à lire de la liste des aliments contenant ou susceptibles de contenir des OGM diffusée par Greenpeace.
Les débats parlementaires sur la loi OGM laissent un goût amer, parce qu’ils révèlent le peu de préparation de nos élus à traiter une question aussi grave que l’introduction des plantes transgéniques dans nos champs.
Vous pourrez toujours prononcer mon exclusion si cela vous convient, mais sachez que je suis un homme libre et le resterai envers et contre tout.