Un site d'information sur les bienfaits de vivre sans contraception hormonale.
Une conférence très intéressante qui montre de quoi se privent les adolescentes qui prennent la pilule.
Une nouvelle étude danoise semble confirmer le lien entre la pilule et une hausse de dépression chez les femmes. Cette corrélation avait longtemps été ignorée à cause d'une approche historiquement sexiste de la contraception féminine.
Conclusion: le taux d'efficacité serait de 99,5%, soit le même que la pilule. Et même si l'on compte celles qui n'ont pas respecté les indications, il n'y a eu que 7,5% de grossesses, soit environ le même taux que la pilule en conditions réelles.
La symptothermie est aussi fiable que la pilule. Les études scientifiques le prouvent ! Malheureusement, la majorité du corps médical perpétue la croyance de la non fiabilité, la méthode est jugée « trop compliquée » pour les femmes. C’est de l’obscurantisme ! La grande différence avec la pilule ou le stérilet, c’est que la symptothermie nécessite un apprentissage et donc une implication de l’utilisatrice et de son compagnon.
Sait-on par exemple que les hormones de synthèse sont au cancer du sein ce que l’amiante est au cancer de la plèvre ?
Le blog d'une femme qui a découvert à quel point la pilule contraceptive était un perturbateur de l'ensemble du corps et du psychisme des femmes.
En 2001, le Pr Henri Joyeux, cancérologue, publiait « Femmes, si vous saviez ! », un livre plusieurs fois réédité dans lequel il dénonce autant les dangers de la contraception chimique que de la THS. « C’est bonnet blanc et blanc bonnet » écrit-il à propos de ces traitements dont il explique les effets cancérigènes et thrombo-emboliques.
Dans ce livre, on peut noter cette phrase terrible du Dr Pierre Simon, co-fondateur du Planning Familial : « Si j’étais femme, sachant ce que je sais de la physiologie féminine, vous me paieriez cher pour me faire avaler la pilule ! ».
Pour la première fois en France, une plainte devait être déposée au pénal contre une pilule, vendredi 14 décembre, devant le tribunal de grande instance de Bobigny. Marion Larat, utilisatrice de la pilule de 3e génération Meliane, et désormais lourdement handicapée, accuse le laboratoire Bayer d'avoir provoqué l'accident vasculaire cérébral qui l'a terrassée en 2006. "Le Monde" a recueilli les témoignages d'autres victimes, ou familles de victimes.
Constat d'Ellen Grant dans Amère pilule : les premiers tests de pilules contraceptives ont été faits précisément sur des pilules pour hommes. Le premier test révéla une petite diminution de la taille d'un testicule chez un des hommes participant à l'étude. On arrêta les recherches sur-le-champ. Parmi les premières femmes testant des pilules contraceptives, trois sont mortes lors de l'étude. On se contenta d'ajuster le dosage... Et des femmes meurent encore.