Selon les scientifiques, ces gènes qui conféraient autrefois une protection contre la peste noire sont aujourd’hui associés à une susceptibilité accrue aux maladies auto-immunes, comme la maladie de Crohn et l’arthrite rhumatoïde.
La meilleure preuve empirique du non déterminisme génétique, c'est les nombreux vrais jumeaux où un seul est gay.
Côté milieu, avec la contraception, on a séparé fortement l'union des corps et la procréation. Or, dans l'union des corps, il y a quelque chose d'assez mécanique pour provoquer le plaisir. Et cette mécanique fonctionne sans l'altérité des sexes...
C’est exactement la même démarche qu’avec les plantes génétiquement modifiées (PGM), où on nous annonce depuis des années la fabrication de plantes qui pousseront dans le désert, qui fixeront l’azote de l’air. Tout cela relève du fantasme absolu : croire que l’on pourra surmonter des phénomènes aussi complexes, dont on ne connaît rien – ou pas grand-chose – des mécanismes intimes, en introduisant un, deux, trois, ou cinq gènes dans une plante, c’est croire au père Noël, mais c’est vendeur…
Dans les faits, la quasi-totalité des plantes génétiquement modifiées cultivées à la surface de la planète ou qui font l’objet de demandes d’autorisation, sont toujours des plantes conçues pour accumuler des pesticides (insecticides et/ou herbicides) et rien d’autre.