Et en particulier, il y a un auteur qui, lui est un auteur grec, Basile de Césarée. Basile demande de faire une lecture allégorique, par exemple de dire qu’en fait lorsque tel épisode qui nous paraît immoral ou où apparaissent des dieux, chez Homère ou chez d’autres poètes, il faut faire une lecture allégorique qui essaie de retrouver le sens moral profond, qui, lui, est tout à fait acceptable. Je crois qu’il pourrait nous servir de modèle. Je crois aussi qu’il y a un devoir de la part de tous à regarder de manière apaisée les événements historiques, les œuvres culturelles, quand même continuer de transmettre un passé qui est absolument nécessaire à notre survie. Le passé, nous devons le renégocier en permanence. Mais il faut plutôt agrandir notre perception du passé plutôt que de la limiter.
Les ingrédients des fruits, façon produits chimiques.
La newsletter de Prixm vous explique chaque semaine en 3 minutes « comment la Bible a influencé l’art depuis 2000 ans ...
Dans ce monde de la Silicon Valley, le Minitel est un exemple de ce qu’il ne faut pas faire.
Être ministre aujourd’hui revient donc à gérer la pénurie –et ce n’est pas limité à la Rue de Valois car partout, on colmate des brèches. Vous avez choisi de le montrer. De dire: le Roi est nu et il n’y a plus lieu de faire la fête. Il faut pour cela du courage et une dose d’inconscience.
J'ai signé cette pétition : Favoriser la diffusion de la culture et des savoirs et consacrer les biens communs de la connaissance
C'est dire si l'on est tombé bien bas dans la démocratie, lorsque même l'administration d'une prétendue "démocratie" n'ose plus assumer la promotion d'un livre de science-fiction qui dénonce la manière dont les démocraties peuvent devenir des dictatures, de peur que cela suscite des moqueries, voire un réveil des consciences.
Une vidéo qui fait appel au cerveau reptilien (les émotions) pour faire passer un message mensonger… Ce qui est intéressant, c'est de voir que le message dit explicitement qu'un squelette n'a pas de sexe, pas d'idées, pas de convictions. Bref, ce message de la culture mortifère met en scène des morts. De plus, une partie du message est pourtant intéressante. Ce qui rajoute à la confusion… des genres.
Une encyclopédie en ligne de la Science-fiction !
Et si l'Église tenait finalement un discours sensé sur la sexualité et la contraception ?
Les couleurs et leurs significations selon les cultures : pas beaucoup d'association couleur/sens universelles !
Il est donc tout à fait absurde de dire que les droits de copie ou d’auteur sont nécessaires pour la perpétuation de la culture alors que ça a toujours été un outil de lutte contre, justement, la diversité culturelle.
La juxtaposition des mots propriétés et intellectuel (du monde des idées) est une aberration dans un contexte de l'échange et de la culture.
I think when you manage a distributed team, you cannot manage through command and control; you must manage through vision and culture.
Je pense que lorsque vous dirigez une équipe distribuée, vous ne pouvez pas diriger par les ordres et le contrôle ; vous devez dirigez par une vision et une culture.
I think when you manage a distributed team, you cannot manage through command and control; you must manage through vision and culture.
Je pense que lorsque vous dirigez une équipe distribuée, vous ne pouvez pas diriger par les ordres et le contrôle ; vous devez dirigez par une vision et une culture.
« On a renvoyé l’analyse au ministère de la Culture. S’il y a une décision qui nous dit c’est tant par adresse IP, bien évidemment, on paiera ». Le dossier a été envoyé voilà six mois (janvier 2012) à la rue de Valois, depuis sans retour.
Plutôt que d’essayer à toute force de recréer des frontières disparues, et si l’objectif est réellement de promouvoir la diversité culturelle, alors il me semble que l’urgence n’est pas de persister dans des modèles établis au siècle dernier mais de revoir de fond en comble la façon dont le droit d’auteur est protégé.
Comment notre société est modifiée par les nouveaux outils communiquants.
On y apprend par exemple, que si tous les gens qui ont téléchargé The Avengers avaient acheté un ticket de cinéma (ce qu'ils ont d'ailleurs surement fait pour la plupart), les revenus sur le film n'auraient augmenté que de 0,5%. Autre exemple édifiant, celui de la RIAA qui demande en moyenne, 150 000 $ de dédommagement pour chaque chanson piraté... soit 5 fois plus que ce qu'une personne normale achète en musique durant toute sa vie. Dingue !
Les questions autour de la protection des droits d’auteurs et des brevets occultent l’altérité, les filiations… Comme si « un auteur » n’était redevable à « aucun être humain », à aucun professeur, bibliothécaire, conservateur… La singularité de « l’auteur » est autant constituée par lui que par la société à laquelle il appartient. Cette singularité était révolutionnaire quand il s’agissait d’affirmer que l’on était son propre sujet et non celui d’un roi. Elle perd en revanche toute substance quand elle se confond avec les intérêts d’un « producteur ». Si bien qu’on ne sait plus si le maître de « cette singularité » est « l’auteur » ou « le producteur ».
Les producteurs ont réussi à faire admettre le paradigme suivant : « l’investissement financier ayant servi à produire de la connaissance équivaut à « un titre de propriété ».
Non, vraiment : le problème n'est pas les auteurs (producteurs d’art), ni les internautes (consommateurs d’art). Ce sont les intermédiaires (profiteurs, voleurs, saboteurs d’art). C’est pour ça que des gens prennent la décision de ne plus consommer la culture de la même façon. Et c’est bien ce que je vais faire aussi, de plus en plus.
L'AIMSA est un site légal et Gratuit non affilié à l'Hadopi L'AIMSA ne brasse pas d'argent L'AIMSA s'occupe de culture L'AIMSA a été crée pour mettre des bâtons dans les roues des lobbies qui ont dicté l'Hadopi aux politiques et ont pris en otage la musique avec pour seul objectif de faire de l'argent pour leurs dirigeants L'AIMSA a été crée pour démocratiser l'accès à vos oreilles pour tous les artistes hors système (SACEM - SPRE - FM -MAJORS) L'AIMSA c'est un nouveau système de diffusion en marge du système en place depuis des années qui prend les mélomanes pour des vaches à lait et les artistes pour des imbéciles L'AIMSA a pour seules ressources les dons des membres de son bureau qui sont plus mécènes que bénévoles et les dons éventuels de ses membres L'AIMSA affiche ses comptes à la ligne pour tout Internaute en toute transparence sur son Forum Bienvenu à l'AIMSA !
Qui sait si mon petit modèle économique permettra de financer de nouveaux albums, mais même l’échec vaut mieux que le système de distribution pourri dont les artistes souffrent depuis plus de cinquante ans.
Nous espérons que vous apprécierez la musique autant que nous l’apprécions en la créant .
Mais en tant que consommateur, vous n'êtes prêt à payer que pour votre propre satisfaction, et non en fonction de la satisfaction que vous apportez à la collectivité. Il revient donc à l'Etat de subventionner la différence entre l'une et l'autre. Dans le cas contraire, le marché qui, laissé libre, ne peut subvenir qu'à la somme des demandes individuelles, produira moins de pièces de théâtre que ce dont la société a besoin.
Et voilà une vidéo qui pourrait être utiliser par HADOPI pour justifier son existence. Et par ses détracteur pour justifier que la culture doit être librement partagée.
Alors que vous travaillez au quotidien pour une création artistique et culturelle qui élève in fine l'ensemble de la société, nous vous proposons d'élargir cette approche de manière systémique. Votre billetterie autant que la gestion de vos relations publiques (et plus encore) peuvent participer de la même démarche en contribuant aux biens communs. C'est ce que nous vous proposons à travers le logiciel libre e-venement que nous avons initié il y a cinq ans, et qui est aujourd'hui développé et utilisé en coopération autant au Maghreb qu'en France et en Europe.
Le 12 mai 2012 a lieu la 6e « Nuit des Cathédrales ». Les cathédrales participantes vont laisser leurs portes ouvertes jusqu’à minuit et au-delà. Elles proposent un programme culturel et spirituel varié avec concerts, expositions, conférences, spectacles, visites guidées, méditations, prières et temps de silence.
Notre pays hérite de l'effort culturel des générations précédentes. La culture ne coïncide pas avec la production culturelle ou même avec la réception de ses produits. Elle permet à chaque personne d'inscrire sa destinée dans la communauté humaine avec celle des autres devant les horizons de la plus grande espérance. Il est souhaitable que les pouvoirs publics assemblent les conditions pour que les jeunes générations profitent de ce que nous lègue le passé pour se projeter dans l'avenir.
Pour Nicolas Sarkozy, la culture n’a jamais été un simple supplément d’âme mais un supplément de revenus. Elle est un espace source de revenus, le socle de notre puissance, un moyen de présurer les gens en temps de crise dans un monde où les valeurs et les repères se dégradent. Elle devait par conséquent être commercialisée et, surtout, monnayée envers et contre tous. En dépit du contexte budgétaire contraint, les intermédiaires et ayants droits ont reçu les moyens qu'ils ont exigés. La diffusion payante a été protégée par une politique de droits d'auteurs tournée exclusivement à l'avantage des intermédiaires qui ramassent la mise à la place des artistes. (J'ai librement réécrit le texte de la propagande).
Ça grogne du côté des auteurs au ministère de la Culture. Selon nos informations, une étude réalisée par le cabinet Mazars à la demande de la direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) a été trappée au dernier moment sur décision de la rue de Valois. Elle devait être communiquée à l'occasion de l'ouverture du Forum d'Avignon, et s'intéressait à la rémunération des ayants droit à l'ère du numérique. Mais ses conclusions auraient déplu, en particulier du côté des producteurs.
L'étude, dont les conclusions s'ébruitent dans les couloirs de la filière culturelle, aurait en effet démontré que le numérique était une grande chance pour les auteurs, et plaidé pour la gestion collective obligatoire que refusent les producteurs de musique et de cinéma.
Un site qui permet à des artistes émergents de vendre leur musique "en direct" à leurs fans
Une infographie interactive présentant les évolutions du web d'un point de vue technologique
Quand les ayants-droit s'approprient notre culture, notre histoire: Il n'est pas possible de voir le discours historique de Martin Luther King, car ses ayants-droit affirment leurs droits dessus et on demandé la suppression de YouTube. Plus aucune vidéo de ce discours historique n'est visible sur internet. Les droits expireront en 2038.
J'en ai assez que nos gouvernements confondent Culture et industrie du divertissement de masse !
J'écoute personnellement peu de musique. Les débats radicaux sur la contrefaçon musicale m'étaient un peu étrangers et je ne regardais la question que sous l’angle des effets de bord induits par la lutte anti-piratage... jusqu'à maintenant.
Aujourd’hui nous avons voulu acheter un vieil album de musique plus à la mode. Avec un léger doute en nous connectant nous l’avons tout de même trouvé rapidement. Voilà le résultat de notre expérience. Ceci n’est pas une fiction.
il n'a jamais été démontré que l'apport des producteurs de disques au bien-être sociétal est tel qu'ils méritent d'être sauvegardés quoi qu'il en coûte.
Près d'Orléans, une aire d'autoroute avec le Géodrome : une vue réduite de la france avec ses rochers caractéristiques.
Des enfants découvrent des objets vieux de 30 ans... Ça nous rajeuni pas !!!
Par contre, ni BMG Rights, ni X5 Music, à une moindre échelle, ne manifestent de velléités d'investir dans la production ou le développement de nouveaux talents, ce qui n'est pas très bon signe. D'un industrie essentiellement axée sur la production de nouveautés, appelées à constituer les fonds de catalogue de demain, l'industrie de la musique risque fort de se transformer de plus en plus en machine à exploiter des standards dont la production a déjà été largement amortie et à resservir essentiellement des plats réchauffés.
Les salons de coiffure protestent contre la hausse de la redevance exigée par la SACEM. Ne souhaitant pas répercuter cette augmentation sur leurs prestations, les coiffeurs couperont le son dans leur salon à partir du 7 décembre. Une bonne occasion pour rappeler l'existence d'une véritable alternative, la musique libre.
La vraie question à se poser n’est pas « les technologies détruisent elles la musique ? » mais « quelles solutions peuvent elles être mise en place pour aider les artistes à produire de la musique, la mettre en avant, trouver et construire une base fan et réussir à vivre ? ».
Un des usages officiel de la LiveBox d'Orange : Le Peer to peer !
Nous en avions alors déduit que les maisons de disques qu'il veut épargner payent chaque année seulement 41,6 million d'euros en droits reversés aux artistes-interprètes, alors que le chiffre d'affaires des grandes maisons de disques est supérieur à 500 millions d'euros.
Selon le décret du 25 octobre 2010, Apple pourra ainsi encaisser une aide maximale de 5 millions d'euros par an au titre de la Carte Musique, même pour des transactions qui n'auront pas trait à la musique, et qui ne donneront lieu à aucun paiement de TVA en France. Merci qui ?
Une étude norvégienne s'est intéressée à l'impact de la dématérialisation sur l'industrie musicale. D'après les conclusions de la thèse menée par deux étudiants, le nombre d'artistes et le revenu moyen ont progressé entre 1999 et 2009. Cette période marque aussi l'émergence du peer-to-peer sur Internet. Paradoxal ?
Sauf que si j'avais piraté ce film, j'aurais une meilleure expérience.
Le chef de l'Etat a cru bon de comparer le physique de M. Coppens à celui des hommes qui avaient peint Lascaux. Il a invoqué "le brave néandertalien qui avait parfaitement compris qu'ici, c'était plus tempéré qu'ailleurs, qu'il devait y avoir du gibier, qu'il faisait beau et qu'il y faisait bon vivre".
L'homme de Neandertal a disparu de la région il y a environ 30 000 ans. C'est l'homme de Cro-Magnon (homo sapiens sapiens) qui a peint Lascaux il y a 18 000 ans environ. A l'époque, on était en période glaciaire, avec une température moyenne inférieure plusieurs degrés Celsius.
Ils étaient trois, un Touareg, un Burkinabais et un Français. Le Touareg m’avait fait l’hommage de son livre, Il n’y a pas d’embouteillages dans le désert (Presses de la renaissance) et je lui rendais la pareille avec Mots de passe (Carrick). Ma dédicace disait : « Ce qui embellit le désert, c’est qu’il cache un puits quelque part. » Aussitôt l’homme des sables sourit en disant : « Le Petit Prince ! » et le Burkinabais enchaîne : «… de Saint-Exupéry. » Alors, à ma stupéfaction, le Français demande : « C’est qui ? » (sic).
Salarier quelqu’un, payer un professionnel, c’est aussi reconnaître la valeur du temps et accepter un risque – autrement dit : investir, ce qui reste l’un des fondements de l’acte d’entreprendre. Tout le monde peut-il indéfiniment externaliser le risque et l’investissement ? Il y a des économies qui peuvent finir par coûter cher…
Un article qui montre comment sur le long terme, HADOPI en diminuant le P2P et renforçant le Direct DownLoad (DDL) permet de jeter les bases d'un esclavage du prolétariat par les majors à horizon de 10 ans !